Les mois passent, défilent, et les crias 2016 grandissent, jouent, s’affirment, apprennent à manger comme des grands, à jouer comme des grands aussi… Les mâles roulent des mécaniques, les femelles apprennent à cracher pour repousser leurs avances : il ne faut pas trop attendre d’ailleurs pour faire deux groupes distincts, car de mauvaises surprises peuvent se produire !
Ceux de juin/juillet sont sevrés, certains ont déjà rejoint leur nouvelle famille. Les petits de l’automne profitent encore du bon lait de leurs mères, et à cette saison je me presse pas de les séparer, on a tout le temps ! Dans la nature, le sevrage se fait progressivement, c’est souvent la maman qui donne le signal, en refusant peu à peu de se laisser téter. Il faut seulement veiller à ce qu’elle ne perde pas d’état : certains crias sont très goulus et un jeune de 6 mois peut épuiser sa mère, surtout si elle est âgée, et mettre en danger la gestation en cours.